COL DE LA SCHLUCHT

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>Lieu de séjour. Il fait communiquer la vallée de la Meurthe qui prend sa source à 1 km de là, avec celle de la Fecht. Au croisement de la route des Crêtes et de la route de Gérardmer à Colmar, c’est l’un des passages les plus fréquentés des Vosges. Le col de la Schlucht est, en hiver, une station de ski appréciée.

LA ROUTE DES CRÊTES

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>La création de cette route stratégique fut décidée pendant la guerre de 1914-1918 par le Haut-commandement français pour assurer sur le front des Vosges les communications Nord-Sud entre les différentes vallées.

Tracée constamment au voisinage de la ligne de crête, cette route magnifique permet d’admirer les paysages les plus caractéristiques de la chaîne des Vosges, ses cols, ses ballons, ses lacs, ses « chaumes » – domaine estival des troupeaux – et offre des panoramas et des vues très étendues. En outre, elle fait connaître parmi les champs de bataille de la guerre de 1914-1918, l’un des plus célèbres : celui du Vieil-Armand.

Du Hohneck au Grand Ballon, la route des Crêtes est jalonnée de « fermes-auberges », où, de juin à octobre, sont servis des collations ou des repas composés de mets régionaux.

La route des Crêtes est tracée en forêt sur 50 % de son parcours.

L’ANCIEN PELERINAGE DE LA MAIX

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>Parler de ce qui fut à La Maix avant le XIème siècle est difficile. Assurément, la proximité du Donon et le culte souterrain rendu à la Vierge pendant environ sept cents ans peuvent faire rêver à une origine antique : On aurait adoré là une déesse-mère… Ce ne serait pas surprenant en soi, mais nous préférons nous en tenir à ce que nous transmettent les documents d’autrefois.
Si l’on en croît Dom Calmet, c’est sous l’abbé de Senones Berchère (mort en 1086) que l’ermitage fut fondé par un religieux de ce monastère nommé Régnier. En la fête de la Trinité, l’évêque de Toul Pibon consacra l’église que ce dernier avait construite au bord du lac.
Il nous faut attendre le XVIème siècle pour voir l’ermitage sortir de l’ombre. En 1508, on accorda quarante jours d’indulgence « à tous ceux qui bien et duement confessez contribueront à la fabrique de la chapelle de Notre Dame de la Mer »

LA MAIX LIEU DE CULTE ET DE PELERINAGE

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>Tout laisse à penser qu’à l’époque gauloise, le site de la Maix était un lieu de culte et de pélerinage pour les habitants des hautes vallées de la Plaine du Rabodeau et de la Bruche.
Les Romains qui ont occupé le pays au début de notre ère ont associé leurs divinités aux divinités locales. Ils ont aménagé les anciens chemins et fait passer au-dessus du lac, au col du Bon Dieu, la voie militaire de Langres à Strasbourg.
Au 7ème siècle, un monastère est fondé à Senones. Les princes mérovingiens lui attribuent un territoire qui comprend les hautes vallées de la Plaine et du Rabodeau et une partie de la rive gauche de la vallée de la Bruche. Le lac de la Maix se trouve sur ce territoire sur lequel l’abbé de Senones exercera sa juridiction jusqu’en 1793.
Au XIème siècle, le Comte de Salm devient le voué (ou protecteur) de l’abbaye et de ce fait le lac de la Maix sera situé en terre de Salm.

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LAC de la MAIX à Vexaincourt

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>LE SITE DE LA MAIX

Le lac de la Maix est situé dans le massif du Donon, à 678 m d’altitude, entre les vallées de la Plaine et du Rabodeau sur le territoire de la commune de Vexaincourt. il a environ 80 m de circonférence et 15 m de profondeur. Il est dominé par le Haut du Bon Dieu (811 m). C’est un lac de formation glacière qui a gardé ses moraines frontale et latérales. On trouve dans le même massif, sur le versant de la vallée de la Bruche, des sites analogues : les ronds Pertuis. ce sont des lacs qui ont perdu leur moraine frontale et se sont transformés en marécages.Le lac est encaissé dans le flanc de la montagne et entouré de sapins noirs. Par temps couvert, il est sombre. Par beau temps, il présente des teintes surprenantes qui varient tout au long du jour. par temps calme, les arbres se reflètent dans le lac comme dans un miroir. C’est l’un des sites les plus agréables des Vosges moyennes.

CASCADE CUISINIER

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>La vallée de la Moselle : Ventron

La cascade du Cuisinier à Ventron

Elle se trouve à 20 minutes à pied de l’office de tourisme.

A côté de l’office de tourisme, prendre la direction de l’aire de loisirs et traverser le pont.

Ensuite, continuer tout droit et monter les escaliers devant vous. en haut des escaliers, prendre à gauche et suivre la balise jaune.

Continuer à marcher sur la route sur environ 200 mètres. Prendre le sentier sur votre droite et marcher sur 200 mètres. Aller jusqu’au prochain panneau. prendre à droite et monter sur 200 mètres.

A l’entrée de la forêt, prendre le sentier devant vous sur environ 150 mètres. La cascade se trouve sur votre droite bien cachée par les arbres. Sur votre gauche, vous trouverez également le chemin de croix pour monter jusqu’à l’Ermitage Frère-Joseph.

CASCADE OURS

La vallée de la Moselle : Ventron

La cascade de l’Ours à Bussang

Pour y accéder, prendre à gauche de l’office de tourisme, passer sur le pont, puis prendre à gauche, deuxième à droite, direction La Bouloie. Continuer tout droit à la prochaine intersection, passer sous le tremplin. Dans le tournant, prendre le chemin caillouteux à droite : chemin de la Conche, possibilité de laisser la voiture. Arrivée au chalet des Founés, au-dessus de celui-ci à une centaine de mètres, prendre le sentier des gardes à gauche. (direction chalet des Evaux). Passage au-dessus de la cascade. Pour retrouver la roche de l’Ours, à la prochaine intersection, prendre à droite le chemin qui y mène. Emprunter le chemin qui descend, retour par La Bouloie, puis prendre la route qui passe sous les sous-bois. Retour au tremplin.

CASCADE BATTION

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>Aux environs de vagney

La cascade de Battion

A Rochesson, on peut découvrir la cascade de Battion. Elle est accessible par deux sentiers de randonnée. Pour les plus courageux, depuis la place Marcel Perrin, balisage rond bleu (durée d’environ 1 heure à flan de coteau de forêt).

Cette cascade est également accessible depuis le téléski par le chemin de la Face Pierre. Puis un sentier mène à la cascade. Vous voilà partis pour une jolie promenade rafraîchissante d’environ 30 mn (balisage rond bleu).

CASCADE SAUT-DU-BOUCHOT

Aux environs de Vagney

La cascade du Saut-du-Bouchot à Gerbamont

Elle s’offre à notre regard sur la route de Gérardmer en bifurquant vers le village de Gerbamont.

Le Bouchot naïf sur un flan de la Tête de Grouvelin, sommet situé sur le territoire de la commune de Gérardmer, section des Bas-rupts. Il porte alors le nom de ruisseau des Hauts-Rupts de sa source jusqu’au confluent avec le ruisseau des Bas-Rupts. Il traverse Rochesson, longe Gerbamont puis arrose Sapois où il reçoit sur sa droite le ruisseau de Menaurupt. Après avoir traversé Vagny, il rejoint la rive droite de la Moselotte.

A Gerbamont, le Saut-du-Bouchot est une cascade bucolique et sauvage qui vaut le détour.

Il se précipite comme un torrent furieux, du sommet de quatre étages de granit, au milieu des arbres et des rochers qu’il déchire, et ses eaux bondissantes, tombant au fond d’un gouffre éternellement béant, en sortent bientôt pour regagner avec vitesse la rivière de la Moselotte.

Un parking est aménagé à 150 mètres sur la droite et permet d’y accéder rapidement. Les escaliers mènent à une passerelle permettant d’approcher la chute d’eau. De petits circuits permettent de suivre le cours d’eau et d’admirer la cascade.

CASCADE FAYMONT

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>La vallée de la Combeauté : Le Val d’Ajol

La cascade de Faymont

La cascade est située au-dessus de la scierie de Faymont. Cette scierie toujours en activité fut fondée au XIXème siècle par Charles Lecuve, un industriel de Raon l’Etape qui était alors à la tête d’un véritable empire du bois vosgien. Ce site était idéal, car le dénivelé permettait de canaliser une eau vive fournie toute l’année à débit constant par la cascade de Faymont.

A l’arrière d’une petite retenue dans laquelle se reflète la sapinière, le ruisseau du Dréhart dévale les rochers disposés en escalier face au vallon. en juillet, les brimbelliers accrochés aux coteaux attendent les gourmands.